Jean-Claude Cochard et Jean-René Le Coz nous avaient donné rendez-vous au fort de la Fraternité à 10h30 ; la météo très maussade n’a pas favorisé la mobilisation massive des aribiens, nous nous sommes donc retrouvés à 5, mais à l’heure au point de rendez-vous.
Après un début de randonnée un peu brouillardeux, nous avons donc visité le fort de la Fraternité, construction du 19ème siècle destiné (comme tous les forts de la rando) à héberger de l’artillerie pour protéger l’entrée dans la rade de Brest.
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| Un porche parmi les multiples vestiges du fort de la Fraternité | 
La rando emprunte principalement des sentiers situés sur l’imposante falaise jusqu’au fort des Capucins, dont l’accès est interdit depuis peu pour des raisons de sécurité.
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| Le fort des Capucins | 
Le sentier offre une très belle vue sur le centre Ifremer de Bretagne (moins de 2km de distance à vol d’oiseau) et sur la pointe du Portzic et son phare.

Nous atteignons ensuite le fort de Cornouaille où nous avons fait notre pose pique-nique au soleil, puis celui du Robert où d’impressionnantes casemates sont construites presque au ras de l’eau.
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| Le navire « la Recouvrance » navigue dans le goulet de Brest | 
La randonnée se termine par une longue remontée vers le site de la pointe des Espagnols, où des aménagements à vocation touristique (accessibilité, parking, restauration des fortifications et de vestiges historiques) sont en cours de finalisation.
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| Dans un contexte géopolitique actuel pour le moins instable, les randonneurs de l’ARIB ont été rassurés par la présence d’armement défensif sur la pointe des Espagnols | 
Jean-Claude et Jean-René ayant déposé le matin une de leurs voitures au point d’arrivée, nous avons donc pu rejoindre nos voitures sans effort.
