L’Ifremer sur le Chasse-Marée

Luc nous informe que l’Ifremer fait la couverture du dernier Chasse-Marée, n° 325.

   L’Ifremer du labo à l’Océan *

Article intéressant nous dit Luc qui n’aborde toutefois que deux des sujets d’activités de l’Institut : les géosciences marines du large et du profond, et la pêche.

Évidemment, les anciens des cultures marines, de la pathologie, des biotechnologies, de l’économie maritime, de l’environnement littoral… resteront un peu sur leur faim…

Mais, heureusement que l’on ne peut résumer l’Institut dans un dossier de quelques pages.

Ne faisons pas la fine bouche. C’est déjà un plaisir que de voir l’Ifremer ainsi mis en relief.

Merci Maud Lénée-Corrèze…

* P.S. Vous n’aurez qu’un aperçu de l’article si vous n’êtes pas abonnés mais vous pouvez craquer juste pour ce numéro…

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5 réponses à L’Ifremer sur le Chasse-Marée

  1. Luc DREVES dit :

    Merci Claude et Antoine pour vos réactions. Heureusement que j’avais pris la précaution de mettre « (iv) etc. » car la liste des compétences et domaines d’interventions de l’Ifremer est longue et riche.
    En espérant pour nos successeurs que cette liste demeure et ne se réduise pas.
    Bien amicalement
    Luc

  2. Loïc Antoine dit :

    Je suis complètement d’accord avec Luc, même s’il a omis de mentionner le projet Argo. Mais ça concerne le etc. C’est un oubli, mais c’est important car on en parle dans le TG !
    Et je fais remarquer que a priori ne prend pas d’accent sur le a (remarque pour Anne-Geneviève).

  3. Bonjour Luc, mais toi-même n’as-tu pas oublié l’océano-physique? l’océanographie opérationnelle et la contribution importante au grand projet mondial Argo? les données marines redistribuées vers la communauté et tous les développements technologiques nécessaires à l’exploration des grands fonds comme à l’observation automatisée et en continu de l’environnement côtier ou profond?
    Il est vrai que tu as mis un « etc »,
    Amicalement,

    Claude

    • agm dit :

      Je suppose qu’ils en parlent dans la Chasse-marée et Luc parle de ce qui n’y est pas … Bon, je vais l’acheter pour être sûre…
      Mais pas de souci. Dans l’article sur le jumeau numérique de l’Océan, j’ai mis la photo d’un profileur Arvor C…
      Claude si tu as envie de faire un article sur le etc, surtout, n’hésite pas !

  4. Luc DREVES dit :

    J’ai lu avec beaucoup d’intérêt cet article traitant de notre cher Institut. Le monde du profond, du large et celui de la pêche sont toujours aussi passionnants.

    Mais, à lire le mot fin, je suis resté sur ma faim. La jeune journaliste a oublié de préciser en préambule que, dans les nombreux domaines d’interventions et d’études de l’Ifremer, elle avait délibérément choisi de n’en aborder que deux : celui des géosciences marines du large et du profond, et celui de la pêche. Son choix n’est pas contestable, mais un lecteur insuffisamment imprégné des choses de l’Institut est en droit de penser que les 1516 employés (chiffre hyper précis et élevé, me semble-t-il !) ne s’intéresseraient quasi exclusivement qu’à ces 2 thèmes là, avec un groupuscule s’occupant toutefois de la Flotte Océano Française.

    Sans doute limitée par un nombre imposé de pages pour son article, cette journaliste aurait pu préciser dans son préambule qu’elle n’aborderait pas les domaines (i) des cultures marines (non seulement les cultures en elles-mêmes, mais également leurs dérivés via les recherches par exemple en santé humaine), (ii) de l’économie maritime, (iii) de l’environnement littoral, (iv) etc, via les missions de l’Institut en recherche fondamentale, en recherche appliquée, en mission de service public.

    Ce préambule aurait permis à tout le monde de trouver son compte dans cet article qui, je le répète, est intéressant. Mais consacrer une presque demie page à « mêler art et sciences » était certainement plus important qu’un préambule plus précis.

    Mais il est possible que j’ai lu avec trop de passion cet article, à ne pas comprendre certaines tournures de phrases qui sous-entendraient les domaines occultés.

    Luc

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